Maîtresse j’aime jouer de mon anus pour offrir du plaisir aux autres, la
sodomie en elle-même ne me fait rien, il me faut être dans ma condition de soumis pour parvenir aux
limites du plaisir. Je refuse d’aller plus loin que la perception. Je suis un être à la demande je n’ai de plaisir à recevoir, je ne suis que préposé à vous en offrir au grès de mes
aventures.
L’unique satisfaction
immédiate que me procure ma chatte anale c’est lorsque je me dilate, que j’ouvre en force ce canal. Souffrir en enfonçant un quelconque objet dans mes entrailles, percevoir le tiraillement de
l'oeillet lorsqu’il se tend et refuse la manoeuvre. Commencer le jeu par des godes, des ustensiles déjà mémorisés par mes chairs, puis lorsqu’il reste entrouvert lui astreindre un volume nouveau à
conquérir. L’élasticité de mes lèvres anales est travaillée deux fois par semaine. Je perds notion de la réalité, je voudrais qu’un énorme accessoire puisse m’empaler. Mais mon con résiste, il faut
des longues périodes de combat pour le dompter. Si vous saviez la plainte de votre lope lorsque de quelques centimètres un nouveau seuil de dilatation est passé. Je maîtrise alors à la fois la
souffrance et l’humiliation. Je me regarde dans la glace le cul cambré sous la caresse vicieuse de son nouvel intervenant. Une fois que ma chatte s’est entrouverte de quelques centimètres, je
tourne l’objet sur lui-même pour qu’il casse un peu plus mon cul votre bien. Les plis de l’anus de tendent à l’extrême avant de lâcher. Et je continue tout en exerçant une poussée pour le faire
pénétrer un peu plus. Quelques millimètres pour l’homme un pas d’ogre pour ma soumission. Vous me verriez, les lèvres entrouvertes, souvent un filet de salive au coin.
Par Naomie
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Publié dans : JOURNAL SEXUEL BDSM
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