Le souffle court, creusant mon ventre. Je tente de décontracter au maximum mes muscles fessiers mais la douleur est sublime au fur et à mesure que le fion de votre chienne se brise. Lorsque mon travail est satisfaisant je retire l’objet pour regarder mon anus, chair rouge à l’intérieur d’une bague plus sombre. En contractant mon anus je perçois sa dilatation, je sais qu’il reste ouvert en partie, j’ai l’impression de le sentir vivre, respirer. Je me force alors souvent le cul en posant l’objet au sol, je m’assois dessus. Mes doigts guident l’extrémité de l’objet, doucement je le fais à nouveau prendre possession de la bague déjà ouverte. Lorsqu’il a pénétré de quelques centimètres et surtout sur tout son diamètre, je commence un lent et difficile mouvement de sodomie, je veux sentir, vivre la souffrance de ce cassage d’anus. Les petits centimètres gagnés me permettent de serrer mes muscles sur le petit bout étranger qui me pénètre. Contractant mon anus je force pour me dilater et puis d’un seul coup je relâche la contraction et sous une vive douleur je me dilate un peu plus. La brûlure qui se mêle à l'excitation, je vis cette dilatation avec une extase contenue, sentir l'objet s'enfoncer un peu plus à chaque coup de reins, percevoir les incessants coups de couteau aux points de jonction de l’anus. J’aime cette douleur car elle est double au fur et à mesure que l’anus s’ouvre, écartant ses nerfs et chairs, l’objet qui pénètre les entrailles doit se faire son chemin doucement mais inexorablement. C’est alors au tour du conduis interne de s’éveiller à la dilatation. Le sentir s’écarter sans pour autant se relâcher, imaginer mon cul se coller à cet objet, on a l’impression d’être empalé. Je serre les fesses et je trouve ce cylindre compact qui se faufile se pose en queue impérator.

Retirer l’objet est tout aussi douloureux, bien lové dans ma chatte, il se colle aux parois, il éclate comme une fleur mon oeillet de chienne.

Je rêve d’être fister par une main, un bras. Être cette fois totalement le jouet, ne plus avoir aucune prise sur l’évolution. A quatre pattes, la tête au sol vivre une douleur indépendante de mes actes, attendre, avoir peur espérer. Une main tiède, vivace, qui bouge en moi cela doit être un enchantement de douleurs

SABLE