Arrivé à son domicile, sous les ordres et le regard de ma muse je me suis à nouveau dévêtu. Maîtresse m’a
passé un épais collier de cuir orné d’anneaux. Deux chaînes ont été ensuite posées entre le collier et mes nouveaux anneaux afin qu’ils soient en permanence distendus.
Ainsi vêtu des apparats de ma soumission j’ai fidèlement effectué tout au long de l’après midi les
préparatifs de la soirée. Nettoyant la demeure, effectuant les premières cuissons du repas. Maîtresse m’a offert l’insigne honneur de pénétrer dans l’autel que constitue sa chambre afin d’aller y
chercher ses talons hauts que je devais lustrer. M’apprêtant à mes taches avec bonheur et attention je n’ai pris conscience de la présence d’un homme qui me regardait qu’avec retard. Maîtresse
était avec lui et je l’ai entendu lui dire »Voilà mon objet « avant de m’ordonner de venir me présenter. Obéissant je me suis approché du couple, les yeux baissés, les mains dans le
dos. L homme a chuchoté à DAME NAOMIE avant que cette dernière ne m’ordonne de m’agenouiller et « De vider le surplus de foutre encombrant son ami ». Dorloté par cette humiliation j’ai
libéré le sexe et les bourses de cet inconnu pour le happer avec délicatesse entre mes lèvres de chienne. La perle roulait sur la peau tendu de ce sexe, et rapidement l’homme m’a baisé avec
violence la gueule, s’enfonçant dans ma bouche jusqu’à venir coller ses bourses à mes lèvres. En quelques minutes il s’est arqué avant de se vider dans ma gorge. J’ai lapé cette Q en regardant ma
maîtresse et bonheur suprême elle souriait. Rapidement congédié je suis retourné à mes travaux d’intérieur.
Maîtresse est venue plusieurs fois vérifier mon travail, chacune de mes imperfections ont été sanctionnées de
cinq coups de règles longues et larges sur mes fesses tendues et fermes. Lorsque 18 heures à sonné des zébrures rouges et violacées s’étendaient du creux de mes genoux au bas des
reins.
Par Naomie
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Publié dans : JOURNAL SEXUEL BDSM
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