Sur son ordre j’au suivie DAME Naomie dans sa chambre, Elle me détaille longuement, assise jambes croisées dans son fauteuil de
cuir noir, selon ses directives j’arpente la pièce, je vais puiser en moi toute un flot de positions, de petits gestes féminin, elle s’amuse des petits pics humiliants qui s’emparent de
moi.
Je finis par m’asseoir à ses pieds, elle me caresse la nuque doucement tout en approchant mes lèvres de ses escarpins, soumise et
heureuse, je lèche ce cuir vernis, en avale l’extrémité en laissant des traces de salives que je nettoie rapidement de petits coups de langues. Je la déchausse, et range soigneusement les
précieux écrins, à genoux ses pieds sur mes cuisses je masse doucement ses mollets pendant de longues minutes.
Doucement avec tact et douceur je la dévêts, prenant soin de poser ses vêtements sur le prie dieu qui trône au milieu de la
pièce.
Je ne peux vous décrire l’émotion que m’étreint au moment ou je libère sa poitrine. Deux seins arrogants aux courbes parfaites
s’offrent à mes yeux, les aréoles sont larges et brunes, les pointes épaisses. Je reste quelques secondes, pétrifié par la beauté irréelle, mon esprit s’évade m’amenant dans un monde ou je serai
une amazone aux seins offerts.
Une petite claque vive et puissante me ramène à la réalité et c’est en tremblant que je pose les mains sur le haut du shorty pour
le faire glisser. Je m’oblige à le, la regarder laissant mes doigts amener l’étoffe aux chevilles. Je perçois du coin de l’œil une toison taillée en V.
Son corps est une source d’effluves diverses mêlant le musc à des touches fleuries. La peau est elle-même douce, un écrin de
soie. Agenouillé j’ôte délicatement des chevilles le shorty et suivant ses instructions le porte à mes narines.