Pratiques BDSM, rencontres SM dans la Drome et dressage hard de soumis par une maitresse dominatrice black
Sable m’a désobéi. Il devait répondre aux différents articles laissés sur ce blog et mon autre blog http://ladydark.over-blog.com par des commentaires. Il se contenta simplment de jeter un œil, de me flatter quant à certains billets et ce fut tout. Je décidais de lui faire goûter les joies de l’urtication sans lui préciser au préalable mon intention. L’urtication est une sorte de flagellation avec des orties fraîches destinée à produire une excitation cutanée et notamment sur la surface la plus sensible, il va s’en dire !
A l’aide de gant en vinyle, je préparais une petite botte avec des tiges d’ortie grièche et l’attendais de pieds fermes. Je le convoquais à 12h précise sans préciser la raison. Agréablement surpris par cette invitation, il arriva avec deux minutes d’avance. Je lui ordonnai de rester à genoux deux minutes, tête baissée…Puis de s’habiller simplement avec un string. Je voulais à ma disposition un chien lubrique. Il disposait de 2 minutes.
Deux minutes plus tard, portant mes yeux sur la partie essentielle c'est-à-dire son string, j’y remarquai très distinctement de la turgescence et de l’émoi ce qui me ravit. Je décidais de l’enfiler à l’aide de mon gode ceinture. Je choisis un godemiché de belle envergure. Son cul, à chaque coup s’agitait un moment puis se soulevait, les fesses serrées qui aussitôt se desserraient. J’observais son trou du cul bâillant et humide. Nous avions un jeu tous les deux. Quand il sentait mon sexe entre ses fesses, il devait au bout de 7 minutes de pénétration rendre la liberté à l’engin masculin puis changer de posture. Il se penche en avant dans un salut incliné pour me remercier de temps d’honneur et approche sa bouche du vit.
Il sembla surpris lorsque la queue brusquement le pénètre jusqu’au fin fond de la gorge. Il salive comme une garce qu’il est. Sa langue est habile. Il bande ferme le cochon, je le sens excité prêt à de nouveau être enfilé.
Après l’avoir excité par ce préambule, je luis demandais de se mettre sur mes genoux. Surpris il s’exécuta. Je saisis mon instrument de luxure et l’ôtais. A la place je pris mon joli bouquet d’orties qu’il n’avait pas vu et le contraignant à ouvrir les jambes, lui assainit ainsi le premier coup. Il sursauta. La douleur mêlée à la surprise le fit geindre puis bientôt crier...
Il y a-t-il des orties dans votre jardin Maîtresse ?
Toujours pluggé pour écrire mes commentaires, selon votre bon vouloir, Madame.
sable