Pratiques BDSM, rencontres SM dans la Drome et dressage hard de soumis par une maitresse dominatrice black
Je me suis
maquillé les lèvres, avant de passer des
DIM up blanc, un shorty violet et un petit short qui
se ferme avec des fermetures de chaque côtés, si
simple à ôter. J’ai passé mes cuissardes marron et
bien sur j’ai recouvert le tout de vêtements fort
policé pour le transport.
Vers 23 heures ma voiture garé au loin j’ai quitté mes
vêtements d’homme pour me faufiler dans ma tenue de
chienne sur l’aire en empruntant les petits sentiers
extérieurs à l’autoroute.
Mil fois j’ai décidé de faire demi-tour et mil et une
fois j’ai continué, ma seule hésitation concernait la
façon d’appréhender les possibles compagnons de
fortune. En toute évidence je me suis posté à
proximité des toilettes mais très vite j’ai été mal à
l’aise car des familles venaient à y passer.
Prenant un réelle décision j’ai décidé d’aller traîner
sur le parking des camions. Je distinguais des ombres,
jusqu’au moment où je me suis trouvé face à un homme,
pas un apollon mais un mâle. Comme un habitué qu’il
devait être il m’a fais signe de le suivre et je suis
monté dans sa cabine, à l’arrière il n’y a pas eu de
préliminaire sa bite en bouche je l’ai pompé avec
envie, plaisir et très vite mon short ôté il m’a baisé
sans tendresse tenant des propos incompréhensibles
dans une langue que je suppose de l est. Il s’est vidé
dans ma bouche mais à l’intérieur de sa capote, mais
j’ai pu sentir le liquide tiède, les vibrations de sa
bite. Le short à la main je me suis retrouvé dehors
aussi vite que j’étais rentré.
J’ai ensuite fais un rapide tour d’Europe dans
différentes cabines et toujours de la même façon.
J’ai pris un réel plaisir à cela, il est certain que
me faire défoncer me plait mais j’aime surtout la
sensation de m’offrir comme une chienne, c’est ces
humiliations que je m’impose qui me donne du plaisir.
Finalement j’ai terminé ma soirée dans les sous bois à
quelques mètres de wc, il m’étais facile de comprendre
que passée une certaine heure les hommes qui y
traînent sont des Q à vider et c est vrai que
totalement excité mais maître de ma raison j’ai pris
possession d’un wc où plusieurs mâles m’ont baisé, le
visage dans le wc turc la croupe relevée. Je ne sais
pas le nombre de bites qui m’ont baisé mais je me
souviens parfaitement de la sonorité de leurs paroles,
du foutre qu’ils crachaient sur moi et de ces odeurs
d’urine dont certain m’ont recouvert. Quelques uns ont
fais rougir mes fesses de claques puissantes et cela
ont senti que j’aimais cela car ils ont tous pris
plaisir à m’écraser les couilles, à me cracher dessus
et se vider sur mon visage mes cheveux.
J’avais l’impression qu’ils se donnaient le mot car
dés que l’un sortait un autre entrer la bite tendu
pour me défoncer, merci maîtresse pour cette naissance
d’un autre moi.
Finalement je suis rentré à la maison vers 03 heures
40 et après m’être préparé comme dame Naomie l’exigée
je lui ai raconté diverses épopées de ma vie de
chienne docile.
DIM up blanc, un shorty violet et un petit short qui
se ferme avec des fermetures de chaque côtés, si
simple à ôter. J’ai passé mes cuissardes marron et
bien sur j’ai recouvert le tout de vêtements fort
policé pour le transport.
Vers 23 heures ma voiture garé au loin j’ai quitté mes
vêtements d’homme pour me faufiler dans ma tenue de
chienne sur l’aire en empruntant les petits sentiers
extérieurs à l’autoroute.
Mil fois j’ai décidé de faire demi-tour et mil et une
fois j’ai continué, ma seule hésitation concernait la
façon d’appréhender les possibles compagnons de
fortune. En toute évidence je me suis posté à
proximité des toilettes mais très vite j’ai été mal à
l’aise car des familles venaient à y passer.
Prenant un réelle décision j’ai décidé d’aller traîner
sur le parking des camions. Je distinguais des ombres,
jusqu’au moment où je me suis trouvé face à un homme,
pas un apollon mais un mâle. Comme un habitué qu’il
devait être il m’a fais signe de le suivre et je suis
monté dans sa cabine, à l’arrière il n’y a pas eu de
préliminaire sa bite en bouche je l’ai pompé avec
envie, plaisir et très vite mon short ôté il m’a baisé
sans tendresse tenant des propos incompréhensibles
dans une langue que je suppose de l est. Il s’est vidé
dans ma bouche mais à l’intérieur de sa capote, mais
j’ai pu sentir le liquide tiède, les vibrations de sa
bite. Le short à la main je me suis retrouvé dehors
aussi vite que j’étais rentré.
J’ai ensuite fais un rapide tour d’Europe dans
différentes cabines et toujours de la même façon.
J’ai pris un réel plaisir à cela, il est certain que
me faire défoncer me plait mais j’aime surtout la
sensation de m’offrir comme une chienne, c’est ces
humiliations que je m’impose qui me donne du plaisir.
Finalement j’ai terminé ma soirée dans les sous bois à
quelques mètres de wc, il m’étais facile de comprendre
que passée une certaine heure les hommes qui y
traînent sont des Q à vider et c est vrai que
totalement excité mais maître de ma raison j’ai pris
possession d’un wc où plusieurs mâles m’ont baisé, le
visage dans le wc turc la croupe relevée. Je ne sais
pas le nombre de bites qui m’ont baisé mais je me
souviens parfaitement de la sonorité de leurs paroles,
du foutre qu’ils crachaient sur moi et de ces odeurs
d’urine dont certain m’ont recouvert. Quelques uns ont
fais rougir mes fesses de claques puissantes et cela
ont senti que j’aimais cela car ils ont tous pris
plaisir à m’écraser les couilles, à me cracher dessus
et se vider sur mon visage mes cheveux.
J’avais l’impression qu’ils se donnaient le mot car
dés que l’un sortait un autre entrer la bite tendu
pour me défoncer, merci maîtresse pour cette naissance
d’un autre moi.
Finalement je suis rentré à la maison vers 03 heures
40 et après m’être préparé comme dame Naomie l’exigée
je lui ai raconté diverses épopées de ma vie de
chienne docile.
Mer 4 jun 2008
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