Mes respects maitresse. Je garde en tête mon aventure conduite par vos bons soins.

Croyant échapper à votre courroux, je vous expliquais que nous ne pourrions nous voir. Je vous savais cérébrale… Vous m’ordonnez aussitôt de me rendre dans un cyber café à 18h30 précise après mon travail.

Je devais attacher mon sexe et mes  bourses fermement par des élastiques. Celles-ci se déformèrent rapidement sous la pression. Me plaignant, vous rajoutez quatre petites pinces aux dents effilées qui devaient subtilement mordre mes bourses. La douleur fut vive et lancinante.

Liée à l excitation de ma situation, la page web ouverte, les gens assis à mes côtés, d autres passant derrière moi,  ce fut un réel moment de félicité servile. J’avais peur que l’on découvre quel genre d’homme je suis en réalité. C’était très excitant.

J ai été tenté à plusieurs reprises de réduire les pages lors de notre conversation virtuelle mais le larbin que je suis ne voulait pas vous désenchanter… Même à distance.

Que de frissons !

Bien évidemment, je lui ai interdit de jouir en rentrant chez lui. Il a osé désobéir… Il le paiera et il le sait.

Lady Dark