Il a 8 ans et vit dans un appartement en haut d'une tour d'une ville du centre de la France. De la fenêtre de sa chambre il voit les hauts murs de la prison qui hantent parfois ses rêves. Une autre vision perturbe ses jeunes années celle de sa mère ou d'autres femmes qui enfilent leurs bas dans un cérémonial qui le trouble, Il adore ce geste du lissage où elles s'efforcent de nier toute l'altérité de la soie ou du nylon électrique; ce nylon dont les crissements lorsque les jambes se frottent suffisent à provoquer chez lui une érection. Comme il a aimé ces premières citroen 2cv dont les portes s'ouvrent de l'avant vers l'arrière et donnent ainsi accès à de jolis spectacles lorsque de charmantes créatures en descendent, dévoilant leurs jarretelles et ce blanc des cuisses si troublant.

Cet érotisme lié à des souvenirs d'affection de vieilles tantes ou de grand-mères, des souvenirs d'odeurs de gâteaux mêlées à celle du poêle à bois, reste prégnant aujourd'hui. Il est toujours troublé dans un train, au cinéma par des jambes gainés de nylon; la soie ayant pratiquement disparu.

Il se rappelle aussi cette nuit passé chez une vieille tante, une nuit non prévue, l'absence de pyjama. Elle avait dit "enfile cela tu n'auras pas froid en lui tendant une paire de collant". Ils les avaient enfilés en maugréant pour sauver les apparences d'une virilité de bon aloi. Cette tante ne savait pas que la sexualité de son neveu de 12-13 ans serait marqué à jamais par cette expérience, ce plaisir du contact soyeux. Elle avait du noté l'érection soudaine car elle l'avait envoyé se coucher sans l'embrasser.

En grandissant il se plaisait à traîner dans les mauvais quartiers où les filles de joie le faisaient fantasmer. Elles aimaient à le taquiner lorsqu'il passait, le faisant rougir ou bredouiller un non confus qui les faisaient éclater de rire. Un jour vers Pigalle une de ces créatures du troisième genre qui hantaient le quartier l'attira vers elle et alors qu'il ne se méfiait pas le tira derrière une porte cochère. Elle lui caressa le sexe à travers son pantalon et sentant sa confusion juvénile lui prit les mains pour les glisser sous sa minijupe en haut de ses bas. Notre adolescent sentit aussitôt un membre épais dans une culotte soyeuse. Il était troublé au delà des mots, "a genoux" lui dit la voix avec un accent qui le troublait. Une main impérieuse poussa son visage vers l'entrejambe sous la jupe. Il essaya de résister ajoutant au trouble de son agresseur, "suce petite salope" les mots lui firent l'effet d'un coup de fouet d'autant que sa bouche était désormais collée contre le membre qui raidi, sortit de son refuge de dentelle. Sans ménagement cette queue épaisse lui fut collée contre les lèvres et il dut bientôt consentir à ouvrir un peu sa bouche. La main gantée de résille se substituant au membre introduisit alors des doigts dans la bouche distendant celle ci, l'explorant sans ménagement. "Suce salope ne m'oblige pas à me mettre en colère" L'adolescent comprit d'autant mieux son intérêt qu'il éprouvait un plaisir trouble à être ainsi malmené. Il s'exécuta donc léchant suçant l'organe tandis que la voix singulière murmurait "mmm c'est bon tu suces bien salope, continue je  vais cracher dans ta bouche" Notre jeune garçon sentit sa bouche se remplir d'un liquide chaud et épais qu'il ne put cracher sur les injonctions du travesti, "casse toi maintenant il faut que je bosse moi".

Il s'enfuit plus qu'il ne partit avec ce goût dans la bouche. Il s'arrêta dans un café pour boire un coca et faire disparaître toute trace du jus épais qui avait souillé sa bouche.

Le lendemain comme attiré par un aimant il repassa dans le quartier à la nuit tombée.

Les filles de tous les sexes travaillaient montant et descendant les escaliers qui menaient à leurs petites chambres sur les lits desquelles elles se faisaient baiser par toutes sortes de queues. Martin aperçut son agresseur. Elle discutait avec une autre créature une belle black très sexy toute de cuir vêtue avec des talons si hauts, des jambes si longues qu'elles semblaient faites pour monter au ciel. Il se sentit héler "eh tu en redemandes petite salope, viens donc par ici que je te présente à ma copine"

Les pieds de Martin semblaient peser deux tonnes, il ne pouvait échapper à la voix et n'écoutant pas son instinct il se dirigea vers elle.

-Tiens je te présente Miranda qui vient du brésil. Je lui ai parlé de toi et elle veut te connaître, suis nous jusqu'à notre appartement,

La chambre était propre et confortable, un poêle ronronnait dans un coin distillant une chaleur douce. Déshabille-toi petite salope que nous puissions voir ce que nous pouvons faire de toi.

Miranda dominait martin tâtant son corps regardant ses dents soupesant son sexe et allant jusqu'à introduire un doigt ou deux dans son intimité, "mon dieu qu'elle est serrée, il faudra faire quelque chose pour elle" "désormais tu es Sonia petite salope"

-viens d'abord à la salle de bain

Martin ou Sonia désormais les suivit sans rien dire il appréciait d'être ainsi pris en charge, Il fut douché et Miranda lui fit même un lavement avec le tuyau de la douche, le remplissant de honte à la vue de la couleur et du contenu des liquides qui sortaient de son rectum.

Elles le rasèrent soigneusement, le pommadèrent, le parfumèrent...

Ensuite comme dans un rêve elles le vêtirent de dessous sexy de beaux escarpins...et une perruque frisée et longue d'un beau roux compléta le tableau qui dut leur plaire,

En effet comme la veille il dut les sucer. Il reçut le sperme chaud de sa première initiatrice mais Miranda dont la queue énorme remplissait sa bouche eut bientôt un désir plus fondamental. Il sentit que son cul était fouillé par des doigts crémeux qui le lubrifièrent avec soin, Martin dut alors se mettre à quatre pattes sur le bord du lit, Il sentit la queue énorme se presser à l'entrée de son rectum. Miranda adroitement fit glisser un peu de son gland distendant son jeune cul vierge puis peu à peu glissa son énorme verge dans l'étroit réceptacle lui faisant pousser des petit cris de douleur, Miranda dit alors à sa complice :"mets lui quelque chose dans la bouche; je ne veux pas entendre cette petite salope chouiner".

Martin subit ce soir là tous les outrages, Ces deux tortionnaires semblaient insatiables et il dut les contenter toute la nuit.

Au matin il se dépouilla de ses vêtements féminins revêtit les siens et s'enfuit dans le petit matin des éboueurs.

Ses parents très inquiets de sa fugue décidèrent alors de déménager vers d'autres horizons plus au sud dans une petite ville de province moins débauchée. Ils  ne reparlèrent jamais de cette nuit où leur fils était revenu avec des jambes rasées et une odeur de parfum féminin.

Les années passèrent et je ne pouvais chasser tous ses souvenirs de cette nuit où j'avais été baptisé, Un soir je me rendis à Avignon pour acheter des tenues sexy dans un beau magasin en périphérie de la ville où l'accueil est toujours très sympa.

Le lendemain parcourant Vivastreet je tombai sur une annonce "dominatrice antillaise cherche servante docile pour l'assister, discrétion exigée, la candidate devra être entièrement épilée et munie de tenues sexy".

Je répondis à l'annonce, donnai mon téléphone". Une voix m'appela peu après

- demain 19h00 sortie Loriol de l'autoroute munis toi d'une pancarte où tu écriras Naomi en grand !

Le lendemain je n'attendis pas longtemps sur mon parking une voiture s'arrêta à mon niveau et un homme en descendit, ouvrit une porte arrière me fit signe de monter sans un  mot.

Nous arrivâmes dans un petit village drômois.

C'est derrière cette porte que j'allais sans doute devenir la servante de Naomi. Je dois d’abord être patient ....................................... à suivre

Réponse de Lady Dark

Le spectacle de ton initiation est bouleversant et tellement excitant.

J’aime tes turpitudes sexuelles. J’adore quand tu me racontes tes ébats sexuels. Certes, je ne suis pas présente mais je goûte avec délectation chacune de tes prouesses. Tu es imaginatif et tes confidences sont troublantes à souhait !

Suite à notre entretien tu dois subir des épreuves pour pourquoi devenir ma soubrette en réel. Servir une maîtresse et surtout que celle-ci accorde sa confiance,  cela se mérite !

Continue à nous dévoiler ta vie de garce et je jugerai alors !

Par Naomi alias Lady Dark - Publié dans : Confessions Témoignages SM
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Retour à l'accueil

Vos confessions BDSM

http://img526.imageshack.us/img526/5493/caressedesseins.gif

Vos  confessions, 

Vos récits, vos fantasmes

Publiés sur

Fetish-sm.over-blog.com

ladydark26@orange.fr

Rejoignez la communaute BDSM

PUB BDSM

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés