Petite pute aléatoire voilà le rôle que j’aime à vivre depuis quelques semaines. Je me décris ainsi car je laisse le hasard jouer avec mes sensations d’esclave. Tôt le matin je n’ai qu’une seule envie enfermer les attributs de mâle que la nature m’a donné. Élastique étroit qui enserre les bourses aux couilles remontées et le sexe que j’enfonce en moi pour ne laisser apparaître qu’un ridicule bout de chair.

En fonction de ma journée de me dilate le sexe avec un joli plug aux contours larges et doux. Je ressens un vrai plaisir de lope soumise à me promener ainsi, serrant les fesses pour bien le sentir se faire son territoire dans cet anus ouvert et humide. Il arrive un moment ou faisant partie intégrante de moi je ne le perçois plus comme un objet étranger. Il moule mon anus à sa convenance, devenant chair dans la chair et l’ôter après plusieurs heures est une souffrance bénite.

Maîtresse je ne pensais pas que vous aliéner mon âme et mon corps me pousserais jour après jour vers des plaisirs, des découvertes uniquement liées à la souffrance et aux humiliations. Je passe les étapes avec sérénité et envie, l’angoisse, la peur sont de puissants booster qui me poussent à toujours vivre plus fort ma vie de soumis.

Je rencontre toujours des hommes par le biais d’Internet ou simplement et c’est nouveau en acceptant de rencontrer les amis de ceux qui m’ont déjà baisé. Mon rêve est de trouver une femme, un travesti très féminin et le top serait un transsexuel aimant dominer.

Je vois toujours nous le nommerons Karl, le jeune homme de mes dernières aventures.

Il devient de plus en plus précis dans ses ordres, ses désirs. J’apprécie ses exigences, je mouille devant ses fantasmes qu’il me raconte. Depuis l’épisode de la cave je l’ai revu deux fois chez lui. Sa copine qui est fort sensuelle et jolie termine tard la pauvre. J’adore lui appartenir dans son chez eux. La dernière fois j’ai porté ses vêtements sur son ordre, elle aime être sexy on peut dire provocante, cela me va très bien.

Il m’a assuré que mon cul était bien plus vivant que celui d’ASTRID, mais bon je m’en moque et en plus la vérité des hommes est souvent aléatoire. Il rêve pouvoir amener sa copine à un trio, il m’assure qu’elle est totalement sans tabous mais alors je me demande pourquoi il tremble lorsqu’il range tout après nos agapes.

Je suis une lope soumise maîtresse mais je me trouve bien plus de courage que tous les êtres qui vivent leurs fantasmes en cachette. Enfin je pense toujours à vous lorsque je deviens cette chose que vous avez crée. Je crois sincèrement que tout cela ne serait que pitoyable si vous n’étiez pas toujours en mon esprit. J’offre à la volée mon corps mais mon esprit est à vous seule.

Il m’arrive d’être désenchanté lorsque je vois que vous ne m’écrivez pas ou si peu. Pour vous il ne s’agirait que de quelques minutes pour moi d’un véritable soulagement. Saviez vous que je deviens jaloux quand je lis sur votre blog fétiche des articles d’autres soumis, je rumine comme une petite traînée, c’est étonnant ma totale aliénation à votre personne. J’ai un réel besoin de vous satisfaire, il m’arrive de réfléchir à un problème en me disant « que ferais maîtresse », j’aimerais être votre chose quotidienne, vous savez ces objets invisibles que l’on ne remarque plus, n’être animé que par votre volonté.

Je dois faire attention à ne pas me laisser amener hors limite, cela m’est arrivé il y a quelques jours, Karl m’a fessé si fort quedes traces violacées ont perduré quelques jours. La peau en feu je tendais ma croupe, j’aspirais son membre, je l’ai supplié de frapper plus fort. Nous avons terminer couché sur le sol, lui en moi, avachi sur mon corps, repus de sa jouissance pendant que mon plaisir décuplé au fur et à mesure que les pics de douleurs prenaient possession de mon corps. Je refuse de goûter son foutre, il tente de me convertir en m’assurant que je ne risque rien puisqu’il est en couple. Mais à voir la façon dont il m’a trouvé j’imagine que je ne suis pas le premier ou la première. De plus il m’a montré des photos de sa copine et je ne crois pas qu’elle soit de son côté la petite sœur des pauvres. C’est dommage car je suis certain que cela doit être éminemment humiliant de se faire remplir le sexe de sperme.

En ce moment j’ai besoin de souffrir dans ma chair, je me flagelle avec des ceintures le cul et le sexe, je comprime à en perdre le souffle mes couilles et sexe. La douleur est devenue apaisante.

J’ai envie de vivre une expérience hors norme, vêtue en femelle, passer un moment dans un foyer pour immigrés, genre sanacotra. Une chambre et le défilée des mâles en rut. Mais bon si cela doit arriver cela arrivera je ne vais pas me prendre la tête avec cela.

J’ai plein de nouvelles photos mais j’ai envie de les garder pour le blog « appartenance » qui devrait voir le jour tantôt.

Je n'ai pas pu garder mes nouvelles photos il fallait qu'elles vous appartiennent, j'espère que la boue, le travestissement, les fessées avec ceintures ont su aiguiser votre plaisir de dominatrice.