Maîtresse, il est quatre heure vingt en ce lundi 12 mai 2008
, profitant de labsence de ma famille pour ce long
pont je me suis à nouveau immergé dans un bain de
vices et de sensations masochistes.
Vous mavez demandé de vous relater cette aventure
avec trois hommes de ma région, c est ce que je vais
faire en vous précisant toutefois que pour la première
fois hier soir je suis allé tapiner sur laire
dautoroute dAMBRUSSUM entre Nîmes et Lunel. En fait
je ne pense pas que tapiner soit le terme exact car si
jai racolé je nai à aucun moment demandé de
rétribution aux hommes soulagés.
Je suis assis sur un tabouret de ma confection. Jen
ai ôté le siège en bois. Mes fesses posées sur
larmature de fer, je peux vous écrire en obéissant à
vos ordres. La queue et les couilles de votre esclave
sont pincées à laide de pinces à batterie qui sont
dune tension puissantes, des poids de cuisines y
pendent pour une masse totale de 800 grammes. Jaime
le spectacle de mes attributs étirés et écrasés. Mes
seins eux sont aimablement déformés par dautres
pinces aux dents dacier qui pénètrent la chair tout
en servant de support à de petits poids. Ils pendent à
angle droit sur mon buste sans toucher la peau et
peuvent ainsi bouger et attiser ma souffrance.
Bien sur le cul de votre chienne est défoncé par une
bouteille de bière à la forme arrondie qui ne
disparaît pas totalement dans mon anus grâce à la
présence dun blocage que jai inventé et qui maintien
le bout du goulot à lextérieur de mon fessier.
Je désire vous présenter la scène dans le plus de
détails possibles car mon appareil photo a été amené
par ma famille. Jai conservé mon maquillage disons le
très usé par les assauts masculins et je porte encore
sur ma peau les traces et odeurs de foutre et urine.
Voila je pense avoir décris avec le plus de réalisme
ma position.
Laventure que je dois vous narrer cest passée la
semaine dernière à loccasion du pont du 1 mai. Déjà
seul pour cette occasion jai pu moccuper de
satisfaire mes besoins dhumiliations, de souffrances.
Depuis plusieurs semaines je dialoguais avec trois
hommes de ma région, tout trois étaient âgés de 55 ans
et fait important ils étaient mariés ce qui évite les
ennuis. « Si chacun pèche personne nira chercher
labsolution » Ayant de libre mes après midi et donc
soirées jai accepté de les rencontrer un à un, lidée
de me livrer aux trois en même temps na germé que par
la suite.
Maîtresse je ne sais pas si vous désirez le récit
complet ou simplement la phase finale où votre chienne
docile a été le jouet consentant de leurs esprits
vicieux.